Le silence est impossible à Yaoundé
1 janvier 2013
Pendant ces fêtes de fin d’année, j’ai eu du mal à trouver un point silencieux dans la capitale camerounaise. Le boucan a commencé dans mon quartier depuis au moins le 23 décembre 2012. Mon voisin, un DJ en herbe s’est donné tout le mal du monde pour nous servir les mixages des tubes ivoiriens et des anciens slows camerounais. Son manège commençait généralement vers 15 heures et se terminait autour…